Environnement Lancer une démarche vertueuse

Le 7 mai dernier l’assemblée générale constitutive lançait officiellement la création du cluster de la transition des territoires de montagne. Présentation par Frédéric Marat, délégué général.

Un projet de longue date enfin réalisé. Après une première conférence de presse de présentation en février dernier à Grenoble, le Cluster de la transition des territoires de montagne est donc constitué autour de trois objectifs :
1. Fédérer les parties prenantes d’un territoire avec une vision transverse,
2. Créer de la valeur sur une logique d’échanges collaboratifs,
3. Accompagner les territoires d’un point de vue méthodologique d’ici 12 à 18 mois.
« On ne vient pas avec une vision dogmatique. L’idée c’est de faire confiance à l’intelligence collective pour faire émerger des actions. Il manquait un groupement pour recenser les possibles, les actions et réunir les élus et les acteurs économiques, sociaux et environnementaux », détaille Frédéric Marat, délégué général, également vice-président de l’association Mountain Wilderness. Pour ce faire, l’échelle du territoire semblait la strate la plus pertinente. La feuille de route pour 2020-2021 a été tracée humblement avec en point d’orgue, les États Généraux de la transition touristique des territoires de montagne.

Les forces vives
« On souhaite redéfinir la notion de tourisme en faisant se confronter tout le monde. Cet espace de rencontre est capital pour envisager demain. Si le cluster et les États Généraux sont bien distincts, ils se rejoignent dans la volonté de générer le petit pas de côté pour opérer une bascule dans un sens nouveau », poursuit Frédéric Marat.
Afin d’enclencher ce mouvement, le Cluster affiche un visage éclectique composé d’universitaires (Pierre Torrente, Philippe Bourdeau, Jean-Baptiste Grison), d’élus (Thierry Gamot, Fabienne Grébert, Pierre Leroy, Jean-François Caron) ou de dirigeants d’entreprises (Lionel Marsanne, Guillaume Cromer). « La Compagnie des Alpes ou
Quechua se montrent intéressés, mais nous souhaitions que les bases soit dénuées de toute orientation »,
explique Frédéric Marat. « Cependant, ils pourront prendre le train en route en tant qu’acteurs principaux, c’est évident », conclut-il. Car pour enclencher la transition, toutes les forces vives sont nécessaires. Et le cluster souhaite être un catalyseur.
 

États généraux
C’est le premier projet d’envergure du cluster : l’organisation des États Généraux de la transition touristique des territoires de montagne les 18 et 19 novembre 2020 à Grenoble site central, et sur 40 lieux essentiellement dans l’arc alpin.

Présidence
Pierre Torrente, directeur du campus des métiers du tourisme pyrénéen de l’Université de Toulouse Jean-Jaurès, a été élu premier président du Cluster le 7 mai dernier lors de l’assemblée générale constitutive.

Agora numérique
Le cluster souhaite mettre en place une agora numérique à l’horizon début 2021 comme espace afin de favoriser les échanges et recenser toutes les actions de transitions et d’échanges.

Un projet de longue date enfin réalisé. Après une première conférence de presse de présentation en février dernier à Grenoble, le Cluster de la transition des territoires de montagne est donc constitué autour de trois objectifs :
1. Fédérer les parties prenantes d’un territoire avec une vision transverse,
2. Créer de la valeur sur une logique d’échanges collaboratifs,
3. Accompagner les territoires d’un point de vue méthodologique d’ici 12 à 18 mois.
« On ne vient pas avec une vision dogmatique. L’idée c’est de faire confiance à l’intelligence collective pour faire émerger des actions. Il manquait un groupement pour recenser les possibles, les actions et réunir les élus et les acteurs économiques, sociaux et environnementaux », détaille Frédéric Marat, délégué général, également vice-président de l’association Mountain Wilderness. Pour ce faire, l’échelle du territoire semblait la strate la plus pertinente. La feuille de route pour 2020-2021 a été tracée humblement avec en point d’orgue, les États Généraux de la transition touristique des territoires de montagne.

Les forces vives
« On souhaite redéfinir la notion de tourisme en faisant se confronter tout le monde. Cet espace de rencontre est capital pour envisager demain. Si le cluster et les États Généraux sont bien distincts, ils se rejoignent dans la volonté de générer le petit pas de côté pour opérer une bascule dans un sens nouveau », poursuit Frédéric Marat.
Afin d’enclencher ce mouvement, le Cluster affiche un visage éclectique composé d’universitaires (Pierre Torrente, Philippe Bourdeau, Jean-Baptiste Grison), d’élus (Thierry Gamot, Fabienne Grébert, Pierre Leroy, Jean-François Caron) ou de dirigeants d’entreprises (Lionel Marsanne, Guillaume Cromer). « La Compagnie des Alpes ou
Quechua se montrent intéressés, mais nous souhaitions que les bases soit dénuées de toute orientation »,
explique Frédéric Marat. « Cependant, ils pourront prendre le train en route en tant qu’acteurs principaux, c’est évident », conclut-il. Car pour enclencher la transition, toutes les forces vives sont nécessaires. Et le cluster souhaite être un catalyseur.
 

États généraux
C’est le premier projet d’envergure du cluster : l’organisation des États Généraux de la transition touristique des territoires de montagne les 18 et 19 novembre 2020 à Grenoble site central, et sur 40 lieux essentiellement dans l’arc alpin.

Présidence
Pierre Torrente, directeur du campus des métiers du tourisme pyrénéen de l’Université de Toulouse Jean-Jaurès, a été élu premier président du Cluster le 7 mai dernier lors de l’assemblée générale constitutive.

Agora numérique
Le cluster souhaite mettre en place une agora numérique à l’horizon début 2021 comme espace afin de favoriser les échanges et recenser toutes les actions de transitions et d’échanges.

Un projet de longue date enfin réalisé. Après une première conférence de presse de présentation en février dernier à Grenoble, le Cluster de la transition des territoires de montagne est donc constitué autour de trois objectifs :
1. Fédérer les parties prenantes d’un territoire avec une vision transverse,
2. Créer de la valeur sur une logique d’échanges collaboratifs,
3. Accompagner les territoires d’un point de vue méthodologique d’ici 12 à 18 mois.
« On ne vient pas avec une vision dogmatique. L’idée c’est de faire confiance à l’intelligence collective pour faire émerger des actions. Il manquait un groupement pour recenser les possibles, les actions et réunir les élus et les acteurs économiques, sociaux et environnementaux », détaille Frédéric Marat, délégué général, également vice-président de l’association Mountain Wilderness. Pour ce faire, l’échelle du territoire semblait la strate la plus pertinente. La feuille de route pour 2020-2021 a été tracée humblement avec en point d’orgue, les États Généraux de la transition touristique des territoires de montagne.

Les forces vives
« On souhaite redéfinir la notion de tourisme en faisant se confronter tout le monde. Cet espace de rencontre est capital pour envisager demain. Si le cluster et les États Généraux sont bien distincts, ils se rejoignent dans la volonté de générer le petit pas de côté pour opérer une bascule dans un sens nouveau », poursuit Frédéric Marat.
Afin d’enclencher ce mouvement, le Cluster affiche un visage éclectique composé d’universitaires (Pierre Torrente, Philippe Bourdeau, Jean-Baptiste Grison), d’élus (Thierry Gamot, Fabienne Grébert, Pierre Leroy, Jean-François Caron) ou de dirigeants d’entreprises (Lionel Marsanne, Guillaume Cromer). « La Compagnie des Alpes ou
Quechua se montrent intéressés, mais nous souhaitions que les bases soit dénuées de toute orientation »,
explique Frédéric Marat. « Cependant, ils pourront prendre le train en route en tant qu’acteurs principaux, c’est évident », conclut-il. Car pour enclencher la transition, toutes les forces vives sont nécessaires. Et le cluster souhaite être un catalyseur.
 

États généraux
C’est le premier projet d’envergure du cluster : l’organisation des États Généraux de la transition touristique des territoires de montagne les 18 et 19 novembre 2020 à Grenoble site central, et sur 40 lieux essentiellement dans l’arc alpin.

Présidence
Pierre Torrente, directeur du campus des métiers du tourisme pyrénéen de l’Université de Toulouse Jean-Jaurès, a été élu premier président du Cluster le 7 mai dernier lors de l’assemblée générale constitutive.

Agora numérique
Le cluster souhaite mettre en place une agora numérique à l’horizon début 2021 comme espace afin de favoriser les échanges et recenser toutes les actions de transitions et d’échanges.