Les vacances des Français

L’agence de voyage en ligne www.expedia.fr a dévoilé les résultats de son étude Snow Boots™ 2017 sur « Les vacances au ski : attentes et comportements des Français et de leurs voisins européens »

Les vacances au ski, c’est une tradition en France : 78 % des Français affirment être de très grands amoureux de leurs montagnes et de la neige. 51 % vont au ski au moins une fois par an, 20 % deux fois par an et 11 % plus de deux fois par an.
Les Français consacrent d’ailleurs du temps sur place : 3 % d’entre eux passent entre 1 et 2 jours de vacances au ski, 24 % entre 3 et 5 jours, 57 % entre 6 et 8 jours, et 16 % plus de 9 jours.
Plus volontiers skieurs que snowboardeurs, les Français apprennent relativement tôt : 9 % avant l’âge de 4 ans, 50 % entre 4 et 15 ans, , 29 % entre 16 et 25 ans, 9 % entre 26 et 40 ans et 3 % après 40 ans.
Alors que les Britanniques et les Belges considèrent que la France propose les meilleurs activités après-ski, cela ne semble pas être un élément déterminant dans le choix de la destination ski pour les Français. Le plus important reste la qualité de la neige (53 %), le coût total (50 %) et la réputation de la station (31 %).
Les Français vont à la montagne avant tout pour skier ; leurs sujets d’agacement ? Les personnes s’agglutinant en bas des pistes au lieu de se ranger sur le côté (56 %), les skieurs/snowboardeurs en état d’ébriété (38 %), ou les « amateurs », jugés trop nombreux sur les pistes (16 %).
Quant à l’image que les Français se font de leurs voisins européens, et inversement : les meilleurs skieurs sont les Autrichiens pour les Français, ce sont les Français pour les Belges. Les plus séduisants sur les pistes sont les Allemands pour les Français, ce sont les Français pour les Belges. Les mieux habillés sur les pistes sont les Suisses pour les Français, ce sont les Français pour les Espagnols et les Belges.
Enfin le moniteur de ski idéal serait Barak Obama pour les Françaises, et Jennifer Lawrence pour les Français.
(L’étude a été réalisée par Atomik Research durant l’automne 2017 sur plus de 13 000 adultes, dans 13 pays.)